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Les soins énergétiques

soins esséniens égyptiens 2 sylvie tournon Chartreuse Grenoble

 

Les soins énergétiques existent depuis la nuit des temps par des cultures différentes :

  • la médecine chinoise il y a environ 4000 ans
  • la médecine ayurvédique en Inde il y a environ 6000 ans
  • en Egypte avec les soins Egyptiens pratiqués au temps d’Akhenaton et qui sont devenus ensuite les soins Esséniens-Egyptiens
  • les soins chamaniques d’Amérique du nord ou de l’Europe ; les celtes, l’asie, l’afrique, la Thaïlande, etc….

Cela passe par différentes techniques comme le reiki, le magnétisme, l’acupuncture, les soins esséniens, les soins chamaniques, le shiatsu…

Les résultats des soins énergétiques sont sans conteste d’une grande efficacité car nous pouvons constater qu’aujourd’hui  les soins énergétiques sont très présents partout dans le monde. Sans efficacité, ils auraient totalement disparu !

Les soins énergétiques travaillent sur l’énergie vitale du corps humain. Celui-ci ne pourrait fonctionner sans elle. Elle circule au travers des méridiens ou des nadis qui se trouvent dans le pranamaya kosa, l’enveloppe d’énergie vitale qui anime notre corps. C’est elle qui influence le fonctionnement des organes, fait battre notre cœur et nous permet de penser. Elle influe sur le système nerveux (par les plexus), les glandes endocrines et les organes par la régénération de leurs cellules.

Cette énergie vitale est invisible et circule comme l’air que nous respirons. Nous la prenons dans notre environnement, dans la nature. Elle stimule donc le corps en assurant l’activité de la journée et joue le rôle de régénérescence la nuit pendant le sommeil profond.

Notre corps est formé de particules et d‘atomes. Il est avant tout fait d’énergie, au-delà de la biochimie. Il est donc fait de vibrations et vibre sur une fréquence qui peut aller des infrarouges aux photons, c’est-à-dire les particules de lumière. L’être humain est donc énergétique.

Il peut arriver qu’il y ait un frein à cette circulation pour des raisons diverses comme le stress, un environnement toxique, un choc émotionnel intense, qui à plus ou moins long terme peut amener des troubles divers et une maladie.

Les soins énergétiques travaillent sur le rétablissement des nadis, des chakras, des corps subtils (éthérique, émotionnel ou astral, mental et spirituel).

Le but des soins énergétiques est d’apporter, par une pratique rigoureuse et totalement maîtrisée, l’harmonie et l’équilibre énergétique dans le corps physique et les corps subtils. On dit pour les soins esséniens que l’enveloppe éthérique peu comporter des “fuites d’énergie” qui se présentent comme des “trous” qui créent une perméabilité donc une perte d’énergie. Le principe des soins énergétiques est de “colmater” ces fuites d’énergie pour que le corps physique soit à l’abri des agressions extérieures (chocs, stress, polluants, germes, allergies, etc…).

Lorsque qu’il y a dysharmonie dans le corps, l’homéostasie ne peut pas être optimale pour réparer, régénérer, revitaliser le corps. Cela peut provenir de fuites (expliqué plus haut), du stress, d’une mauvaise évacuation des émonctoires, d’un sommeil perturbé. Cela engendre alors des fluctuations désordonnées d’énergies dans le corps, des fermetures au niveau des chakras, une accumulation de masses vibratoires lourdes dans les corps subtils qui créent une baisse de fréquence vibratoire.

Le principe des soins énergétiques est d’apporter une vibration harmonieuse dans le corps. Considérons que le corps physique est comme la “caisse de résonnance” de notre énergie vitale. Comme dit Khalil Gibran, grand poète Libanais, notre corps est une « harpe pour l’âme”.

Par les soins énergétiques, il s’agit de permettre au corps de retrouver un “son” harmonieux de beauté qui permet à notre “caisse de résonnance” de jouer la plus belle des musiques. Le processus d’auto-guérison est alors activé.

L’utilité des soins énergétiques est de permettre à l’individu de se libérer de tout ce qui reste accumulé, entraînant des blocages, des “formes pensées” cristalisées créant de futures maladies.

Les soins énergétiques agissent à la fois sur le corps physique, émotionnel et psychologique (ou corps, âme, esprit). Un soin énergétique peut travailler sur la prévention d’une maladie.

Les esséniens, par exemple, n’attendaient pas particulièrement d’être malades pour recevoir un soin énergétique, mais venaient recevoir un soin pour que l’harmonie coule en eux et épure toute stagnation de formes pensées cristallisées dans les corps subtils. De ce fait, les formes pensées n’avaient pas le temps de pénétrer dans le corps physique, pouvant provoquer des troubles digestifs, maladies auto-immunes, arthrose, inflammation, douleur, brûlures…

Les soins énergétiques peuvent tout à fait se réaliser en complément d’un traitement médical en cours. Tout le monde peut recevoir un soin énergétique, il n’y a pas de contre-indication formelle car il agit sur les plans subtils. Il est cependant très important d’être en phase avec le thérapeute qui va réaliser le soin énergétique, car c’est par la confiance et le “lâcher-prise” du consultant qu’il peut agir de la manière la plus fluide et efficace possible.

Lorsque l’individu est atteint d’une maladie, ses fréquences vibratoires sont alors basses. Il s’agit pour le thérapeute en soins énergétiques d’apporter une charge positive maximale pour redonner force et vitalité au consultant. Pour cela, le thérapeute doit maîtriser parfaitement sa connexion aux énergies environnantes et subtiles. Il s’agit aussi pour le thérapeute d’avoir des fréquences très élevées et optimales. En général, lorsque le consultant entre dans le cabinet du thérapeute et qu’il exprime qu’il s’y sent très bien, c’est que le thérapeute sait comment rendre son environnement élevé en fréquence, chaleureux et rassurant. En général, le consultant relâche facilement et communique en toute authencité.

Les soins énergétiques vont plus loin que le passage d’un simple fluide, comme  pour le reiki ou le magnétisme, qui capte l’énergie (fluide) dans sa main réceptrice et la transmet au sujet. Pour les soins énergétiques, la captation se fait par une forte connexion des énergies cosmiques et telluriques mais aussi des êtres de lumière. Ceci se fait de façon simultanée et se transmet directement au consultant. C’est un soin holistique.

 Il est possible de réaliser des soins énergétiques à distance. Il n’y a pas d’influence sur le temps et la distance, même si la personne est située à des milliers de kilomètres.

Dans l’univers, tout est énergie et le corps humain est à l’image de notre univers, un microcosme dans le macrocosme. Nous sommes tous des co-créateurs de l’univers !

Pour les soins énergétiques que je pratique à Grenoble et en Chartreuse, vous pouvez trouver des informations sur le magnétisme et les soins esséniens sur mon site.

La phase transitoire de l’automne

 

La phase transitoire de l’automne est rythmée avec un démarrage souvent “sur les chapeaux de roue“ de la fameuse “rentrée” pour les parents et les enfants. Cette période survient après une période de congé pour beaucoup : les vacances, l’insouciance de l’été, le soleil, les baignades… Tout ceci qui permet au corps, à l’émotionnel et au psychologique de se “poser“, de prendre le temps de faire un retour vers soi pour se recharger.

Toute cette énergie accumulée lors de l’été est une sorte de mémoire ou une énergie mémorielle qui va être “stockée” pour toute la période de l’automne et de l’hiver, avant de renaître au printemps.

A l’automne, la vitalité de la nature diminue. Les feuilles tombent et les végétaux vont rentrer dans une période de putréfaction. A l’extérieur de nous, tout rentre dans une période de vitalité plus basse, la luminosité diminue, les rayons du soleil sont plus faibles.

Si nous nous mettons en connexion avec nous-même, nous allons alors chercher en nous l’énergie mémorielle que nous avons accumulée auparavant, pendant le printemps et l’été.

Si nous prenons l’exemple du chêne, il perd ses feuilles à l’automne et la sève descend. Il rentre dans un sommeil visible pour nous mais pour autant, il va garder en mémoire ses feuilles et ses fruits pendant son sommeil (énergie mémorielle), afin qu’au printemps, il renaisse avec ce qu’il est dans sa globalité.

Pour nous être humain, il s’agit de prendre en compte les changements qui s’opèrent dans la nature comme un lâcher-prise, où l’on se débarrasse de nos oripeaux accumulés durant les mois précédents, comme pour les redonner à la terre. C’est un message pour nous inciter à “poser“ tout ce qui nous encombre, tous les vécus parfois un peu lourds que l’on porte sur nos épaules.

Alors si le mois de septembre est une période agitée pour beaucoup par la reprise souvent effrénée de nos vies professionnelles, c’est aussi la période où l’on va “poser”, décharger nos vécus, nous alléger, en faisant un bilan de ceux-ci et de ce qui est à ce moment-là à lâcher. Cela peut être des mots, des situations, des sensations plus ou moins agréables.

Allons dans la nature en nous mettant en lien avec ce changement de saison qu’est l’équinoxe d’automne. Hippocrate signalait que le changement de saison et particulièrement l’équinoxe d’automne, demande à notre corps de s’adapter à de nouvelles conditions pour maintenir son équilibre. Cette adaptation nous demande beaucoup d’énergie et nous fatigue.

La phase transitoire de l’automne jusqu’au solstice d’hiver est comme une transition, c’est comme un moment de travail, comme une porte à franchir. Pour cela, il est essentiel d’être en harmonie avec la nature, d’aller chercher le message qu’elle nous donne dans cette période. Nous gardons en nous des mémoires collectives de notre entourage familial et de ceux qui ne sont plus de ce monde mais qui nous ont transmis des croyances, des mots, des phrases. Nous les gardons en mémoire et nous sommes concernés par toute cette énergie mémorielle de l’année.

Il y a un travail de guérison à effectuer. Pour cela, il est important d’être conscient de ce que la nature exprime en ce moment. Alors, ramassons nos feuilles dans nos jardins, rangeons nos extérieurs et nourrissons notre intérieur, notre maison et l’intérieur de nous-même.

Mettons des bougies dans la conscience de la mémoire que nous gardons en nous de tous nos acquis. En faisant cela en conscience, nous mettons aussi de l’ordre en nous-même et nous rendons hommage à tout ce qui “meurt”, à ce qui disparaît, tout comme nous nous occupons en cette période des âmes qui nous ont quittées.

Soyons dans l’accueil de ce qui se met en repos lors de cette phase transitoire de l’automne et malgré notre vie qui peut être plutôt agitée en cette période, soyons conscients d’être dans cette volonté de nous mettre dans ce repos comme le fait la nature. Prenons le temps pour effectuer ce travail de remise en ordre pour franchir cette porte de l’automne, qui nous amènera au solstice d’hiver, puis au printemps où tout ce qui est en nous, bien gardé, peut alors renaître comme la fleur de lotus qui émerge de la boue, la boue qui peut représenter cette énergie mémorielle et fertile dans la nature.

La fleur de lotus représente alors “l’esprit” de la terre, comme une transformation de vie s’ouvrant à la lumière.

L’amour de soi

l'amour de soi article

La toute première idée pour l’amour de soi, c’est la bienveillance, le soin et l’attention que l’on porte à soi-même. Il est sans doute important de rappeler que notre corps est le tabernacle dans lequel notre âme a choisi de prendre sa place. Notre corps a sa structure physique, visible, avec sa peau, frontière entre l’intérieur et l’extérieur. C’est la demeure pour notre être. C’est aussi notre véhicule pour notre vie terrestre. 

Fermons les yeux et posons un regard conscient sur cet état de fait et observons. Que voyons-nous, que ressentons-nous ? Que pouvons-nous apporter, enrichir, embellir, assouplir, expenser, détendre, éclairer, épurer, assainir ?

Bien souvent, nous apportons beaucoup de soins du côté extérieur de nous-mêmes, dans nos appartements, nos maisons, nos jardins, ce qui est fondamental pour se sentir bien. 

Qu’en est-il de notre demeure et notre jardin intérieur ?

Comment cultivons-nous l’environnement interne de notre corps ?

C’est là qu’intervient notre part de liberté, de choix, d’orientation et bien souvent, nous avons à désapprendre un certain nombre de croyances inculquées depuis notre naissance. C’est un nettoyage intérieur où tel un jardin, nous arrachons soigneusement chaque pousse envahissante correspondant à différentes croyances limitantes mais aussi à la culpabilité, aux jugements et aux peurs…, afin de faire place nette pour la naissance de nouvelles fleurs émanant l’amour de soi.

Rappelons que la culpabilité appartient au passé. En ce qui concerne nos peurs, elles appartiennent au futur. La culpabilité règne tout autour de nous et nous n’avons souvent pas conscience qu’elle est présente à l’intérieur de nous. Nous projetons souvent la culpabilité sur l’autre car nous l’observons chez lui en n’ayant pas toujours conscience qu’elle se trouve à l’intérieur, dans notre propre esprit. En l’observant chez l’autre, nous projetons notre propre culpabilité à l’extérieur de notre esprit. Ne pas se sentir coupable, cela signifie ne pas se laisser envahir par les pensées provenants de l’ego. La culpabilité n’a pas sa maison dans le présent. En faisant partie du passé, elle crée la dualité. Elle nous éloigne de notre conscience de l’unité et crée l’adversité, de ce fait. La naissance de la culpabilité apparaît dans la complaisance liée à la nourriture, et à toutes formes d’addictions.

La naissance de la peur, elle, est liée aux projections que nous faisons comme :

  • et s’il se passait ceci ou cela ?
  • Et si je n’arrive pas à tel objectif ?
  • Pourvu que mon projet ne soit pas un échec 
  • Je crains qu’il se passe ceci ou cela

Nous sommes alors projetés dans le futur et sommes encore dans la division intérieure de nous-mêmes. Nous sommes dans le désamour de soi provoqué par la dualité intérieure engendrant ainsi des pensées qui installent ensuite des émotions négatives dans notre demeure interne.

La bienveillance et le soin passent par la conscience d’apprendre à gérer nos pensées, afin de porter cette attention particulière à toutes celles qui peuvent appartenir soit au passé (la culpabilité), soit au futur (la peur). C’est alors s’exercer encore et encore à se recentrer dans l’instant présent, en positionnant notre conscience au centre de nous-mêmes, au centre de notre cœur, qui est le siège de notre amour pour nous-mêmes et ainsi pour les autres. Ce recentrage qui apporte à nouveau l’unité, tout en vivant l’instant permet de retrouver la paix intérieure qui est exsangue de tous jugements. Nous apprenons à accepter ce qui est et accueillons ce qui vient, dans ce juste positionnement où tout Est. 

Dans l’Amour il y a aussi Rigueur. Alors oui, cela demande de l’assiduité et de la conscience, jusqu’au moment où tout devient plus simple et naturel.

Apprendre à s’aimer, c’est trouver la rigueur positive de cultiver la bienveillance, la beauté, le respect et le soin de soi afin que notre demeure intérieure soit lieu d’accueil de l’amour inconditionnel qui rayonnera pour toutes choses et toutes formes de vie.

Nouveau regard pour un nouveau changement

Pour un regard plus éclairant, plus positif

Je voudrais mettre l’accent aujourd’hui sur le côté positif et constructif de cette période de confinement que j’ai nommé introspection.

Nous pouvons considérer cette situation de deux façons : 

  1. Soit en vivant dans la peur qui nous amène à nous enfermer davantage, comme d’ailleurs ce que nous montre bien ce message des “gestes barrières” qui tournent en boucle, et symbolisent l’enfermement et la dépendance totale d’un système, en générant également des pensées négatives qui influencent notre corps et entravent le flux des énergies. Alors nous nous disons “pourvu que…, et si…, surtout ne faisons pas ou surtout faisons…” etc… Nous savons aujourd’hui combien notre état émotionnel est influencé par la qualité de nos pensées. Si nos pensées sont répétitives et négatives par la peur, elles ont tendance à se multiplier et grossir, grossir encore pour devenir une montagne de pensées négatives ! Et vous observez combien le corps réagi, se tend, se durci, se crispe et devient si douloureux. Et puis, on ne sait plus au bout d’un moment de quoi il en était au départ… Les pensées négatives ont tendance à devenir obsessionnelles en s’engrammant profondément en nous. On se sent piégé dans son mental. Les pensées négatives adorent prendre le contrôle sur nous. On devient ces pensées, on en parle et on en reparle et au fur et à mesure, on tourne en rond en ancrant encore davantage les conséquences de celles-ci dans notre corps physique et émotionnel. Finalement on peut considérer que cela prend la tournure d’un fonctionnement similaire comme un virus dans le corps, comme des virus mentaux qui prennent le contrôle sur nous et nous ne pouvons plus nous en débarrasser. Ces pensées s’enracinent dans notre mental et en prennent possession parfois pendant toute une vie, jusqu’à que le corps en exprime finalement une maladie. Ces pensées peuvent prendre également le contrôle d’une entité plus grande que nous-même, pour tout un peuple par exemple.
  2. Soit nous nous servons de cette situation à bon escient pour faire le point et formuler l’IDÉE de ce qui est bon pour nous, pour notre santé, notre bien-être. Regardons comme le printemps est magnifique dans toute cette beauté florale en ce moment ! Profitons-en pour nous relaxer, nous détendre et goûter le moment présent le plus possible, à formuler des pensées positives comme : Le temps est magnifique aujourd’hui et me rempli de joie, je suis satisfait(e) de ce que la vie me donne… etc… Lors de ces pensées positives, nous pouvons constater qu’il est difficile de penser que nous puissions en être piégé, n’est-ce pas ? La pensée positives nous fait nous sentir mieux et il est plus facile de vivre concrètement cette pensée positive dans la réalité. La pensée est une direction, comme un axe qui trace un objectif dans la vie concrète.

Nous avons LE TEMPS pour penser à installer des nouvelles dispositions dans notre vie que nous ne pouvions installer auparavant dans notre course effrénée. Réfléchissons à ce que nous pouvons mettre enfin en place à présent, maintenant que ce moment est là pour nous amener à faire du trie dans notre manière de vivre, d’être et d’agir. Relions-nous à la puissance de la nature car la nature a cette grande capacité à nous montrer sa force et finalement, n’a-t-elle pas toujours raison ? Posons-nous la question : “Qu’est-ce qui est le plus important pour un être humain, n’est-ce pas d’être relié à son environnement naturel et de s’en nourrir ? N’est-il pas important si nous parlons de s’en nourrir de parler également de cette si belle et si juste nourriture que la Terre nous donne par l’abondance de ses fruits et de ses légumes ? N’est-il pas important de savoir que c’est Elle qui nous permet de rester en vie et de la chérir ? Qu’est-ce que je peux faire moi, individuellement et en relation avec le collectif de l’humanité pour que la Terre soit en bonne santé et par la même occasion que ma santé soit bonne aussi ? Est-ce que je dois encore consommer en inconscience et sans demi-mesure ? Est-ce que je me sens concerné(e) et ne dois-je pas, si c’est le cas, faire attention à mon corps, mon âme et mon esprit pour continuer à pouvoir agir et aider autour de moi ?

Nous voyons assez en ce moment ce que déclenche ce virus pour nous tous. Comme je le disais il y a un instant, nos pensées négatives peuvent agir tel un virus aussi bien individuellement que collectivement. Si nous associons la peur pour le coronavirus, alors, nous associons un autre virus mental sur un virus déjà existant. Nous voyons que nous pouvons faire le choix d’être psychologiquement victimes en nous contaminant par la peur, ou de faire le choix de nous servir de ce virus comme déclencheur, comme un levier, qui nous conduit à prendre conscience, en sortant de cette ambiance effrayante et enfermante et faire émerger une conscience individuelle et planétaire. Nous pouvons nous éveiller à notre processus de pensée, aller au-delà du processus de la pensée, en faisant émerger la conscience. Eveiller sa conscience, c’est ce placer “au-dessus ” de ces pensées et de cette voix qui discute sans cesse dans notre tête et à laquelle nous avons tendance à obéir. Eveiller sa conscience, c’est réaliser qu’au-delà de cette vois discursive, nous pouvons trouver une immense profondeur et une totale liberté, avec une intelligence bien plus vaste et infiniment ouverte. Nous pouvons dire que ”nous sortons du rêve”  et je dis aujourd’hui “extirpons-nous de ce cauchemar et agissons pour que tous nos rêves les plus beaux et les plus fous deviennent réalité !”

L’un de mes rêves que je voudrais partager c’est cette grande famille qu’est l’humanité, une famille où nous arrêtons de nous battre pour une raison ou une autre, où “l’autre” n’est pas notre ennemi. Aucune guerre n’a créé la paix. Il n’y a pas un être supérieur ou inférieur à l’autre et nous ne sommes pas faits pour être dominants ou dominés. Nous sommes ENSEMBLE pour une nouvelle conscience et la construction d’un nouveau monde. Nous avons chacun l’IDÉE qui nous propulse. Chaque idée est un élément d’une nouvelle structure mondiale. En abattant les croyances erronées, en cessant de nous laisser endormir par tout ce que nous entendons et voyons et en devenant indépendant d’un système qui enferme tous nos sens, devenons chacun des êtres libres, ouverts et responsables. Nous pouvons chacun nous prendre en main et prendre un nouveau chemin pour notre vie, dans la bienveillance pour soi, pour les autres, pour le monde. Nous pouvons créer maintenant un nouveau futur. Nous avons le temps. Profitons de cet objectif pour prendre soin de nous, dans ce que nous mangeons et créons. Créons chacun individuellement de la joie, du bonheur pour soi, pour notre entourage. Apprenons à créer une nouvelle pandémie, la pandémie du bonheur et de la santé. Apprenons à vivre heureux avec soi-même, à nous aimer pour aimer autrui. Sortons du conflit que “l’autre n’est pas nous”.

On a tout ce qu’il faut pour être co-créateurs de l’univers. La vie est si bien faite ! Regardons-la autour de nous, dans la nature où tout est parfait. Nous avons pu souvent constater que lorsque nous marchons dans le bon sens de la vie, nous sommes forts, créatifs, joyeux, amoureux de la vie. Je ne vous citerai pas les conséquences lorsque l’on est dans une situation où nous marchons à l’envers, dans le non sens car nous les connaissons pour les avoir vécues au moins une fois dans notre vie. Mais j’aime à dire que ces situations si difficiles sont les plus belles écoles de la vie car durant notre vie, nous avons l’occasion de renaître et renaître encore et ces renaissances sont à chaque fois des prises de consciences par la compréhension de celles-ci. 

Nous sommes tantôt élèves tantôt transmetteurs de l’école de la Vie. On peut remercier la Vie car elle nous apprend à chaque instant. Nous apprenons d’elle en ce moment car son message est clair. Alors devenons de bons élèves et de bons transmetteurs, simples, authentiques, humbles, libres et responsables. 

Prenons le bon sens positif de toutes choses et soyons solidaires et heureux pour l’autre. 

Soyons ce nouveau Monde dans toute sa beauté, son respect, sa bienveillance et dans l’intensité de son amour.

Retrouvez-moi sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=s4HKZbiFEZw

La méditation, c’est quoi ?

Qu’est-ce que la méditation

Le mot méditation en orient vient du sanscrit “bavana” qui veut dire “cultiver” ou du tibétain “Gom” qui veut dire “se familiariser avec”.
En occident, nous pourrions dire que c’est un entrainement de l’esprit. Entrainement de l’esprit, oui, mais à quoi ?

  • A l’intention focalisée
  • à l’amour altruiste
  • allons-nous cultiver un antidote à la colère, à la pensée malveillante, au désir obsédant ?

Ça peut être aussi “se familiariser avec” :

  • la nature profonde de notre esprit, c’est-à-dire cette conscience éveillée qui est toujours présente derrière le rideau des émotions, des pensées, des réminiscences de l’anticipation de l’avenir, cette faculté première de connaître.

Voyez-vous la méditation est un ensemble de processus, d’entrainement à notre esprit, de meilleure compréhension de notre esprit et une familiarisation avec une nouvelle manière d’être.

La méditation n’a pas de connotation religieuse. On pourrait dire : “la méditation, ça c’est pour les bouddhistes”. C’est un drame de dire que l’amour et la compassion c’est une affaire de religion. De même que la tendresse, l’amour altruiste, l’affection sont une nécessité biologique pour commencer notre vie lorsque nous venons au monde, pour mener une vie qui ait un sens, c’est une question d’essence même de la qualité de la vie humaine, on ne peut pas se passer de l’amour altruiste et de la compassion. Si c’est juste, c’est juste pour tout le monde et cela ne rentre pas dans un cadre religieux quel qu’il soit.

Pourquoi méditer

 On pourrait se dire à quoi bon prendre du temps, des efforts, pour méditer afin de transformer notre esprit ? la vie nous apprend suffisamment de choses. Elle nous a doté de qualités émotionnelles. Ces émotions nous relient aux autres et à nos propres sentiments. Est-il nécessaire de faire cet effort supplémentaire. En réponse à cette question, où nous en sommes dans notre existence ?

En étant honnête avec nous même, nous pouvons reconnaître que nous sommes un mélange à la fois d’ombre et de lumière, de qualités et de défauts, c’est notre manière d’être, mais est-elle optimale ?

Il est évident que ces mélanges émotionnels sont ce que nous sommes, c’est notre personnalité et que nous sommes différents des autres. Mais il arrive que nous restions plusieurs jours dans un état de jalousie, d’arrogance, de colère, etc… et que cela ne contribue pas à un état de bien être pour soi-même et pour celui d’autrui. Alors s’il était possible de cultiver la bienveillance, la générosité, l’ouverture à autrui, de paix intérieure et d’équilibre émotionnel, une véritable confiance intérieure, pour être capable de gérer les hauts et les bas de l’existence, ce ne serait pas plus mal n’est-ce pas ? Le fait de se dire : “je suis comme je suis”, c’est à prendre ou à laisser, ce n’est pas pour moi, peut-être un signe de paraisse ou de fuite. Ce serait comme un comédien qui dit : “cette pièce, ce n’est pas pour moi”, avant même de la lire et de mettre les pieds sur scène.

Mais si nous voulons être vraiment sincère, il y a forcément des éléments que nous voudrions changer en nous précisément, pour mieux vivre avec soi-même et avec les autres. Nous pouvons l’expérimenter ensemble au sein de mon cabinet pour des méditations pleine conscience à Grenoble.

La vraie question est : est-il possible de changer, ou sommes-nous venus avec nos traits de caractères, gravés dans la pierre de manière irréversible pour toute notre vie ? les recherches faites en neuroscience pendant 30 ans nous montrent le contraire. Nous changeons constamment. La neuroplasticité nous montre que le cerveau évolue en permanence en fonction des expériences nouvelles. Nous savons bien qu’il faut un certain nombre d’années pour acquérir et maîtriser un apprentissage. Nous ne naissons pas en sachant jouer du piano ou aux échecs, lire et écrire. La méditation pratiquée de manière répétée permet à notre esprit d’évoluer en qualité et en capacité et nous pouvons s’en servir aujourd’hui. Nous avons tous des potentiels en nous qui sont “dormants” et qui ne demandent qu’à être révélés par une pratique assidue.

Ces potentiels pourraient être par exemple la bienveillance envers soi et envers autrui, l’habilité à gérer nos émotions et nos pensées qui peuvent être perturbatrices, tout cela pourrait être l’objet d’un entraînement. Vous pourriez avoir le désir d’aborder cela à mon cabinet de méditations pleine conscience à Grenoble.

Nous avons un potentiel de départ qui demande à être développé et être amené à s’installer en nous afin de rayonner de sa présence. Cela dépend de notre capacité individuelle et demande à être expérimenté et il y a une énorme différence entre le point de départ et le point d’arrivée.

C’est là le cœur de la méditation.

Nous avons affaire à notre esprit du matin au soir. Cet esprit peut être notre meilleur ami comme notre meilleur ennemi et nous pouvons faire quelque chose. Cela vient aussi de la façon dont nous interprétions le monde extérieur et nous pouvons avoir la capacité de le transformer.

Lors de vos pratiques de méditations peine conscience à Grenoble, vous allez pouvoir installer en vous des transformations. Se transformer pour quoi ? pour mieux s’épanouir dans l’existence et aussi pour mieux se relier aux autres, pour contribuer ensemble à accomplir un monde meilleur.

Cette transformation tient compte de tous les tenants et les aboutissants d’une vie bien vécue. Voyons les avantages qu’il y aurait à cultiver certaines qualités importantes de notre existence, aussi bien pour nous que pour autrui. La présence attentive, une liberté intérieure par rapport à des pensées qui nous asservissent, nous libérer des constantes ruminations par rapport au passé, des projections que nous faisons dans l’avenir.

Une étude à Harvard montre que nous sommes attentifs à 46%. Elle montre aussi que nous sommes dans un mieux-être si nous sommes attentifs à ce que nous faisons et cela contribue à un plein épanouissement. La résilience aussi peut être cultivée grâce aux ressources que nous cultivons en nous-même. Santé mentale, joie de vivre, esprit optimum pour moi-même et pour autrui. Alexandre Jolien (phylosophe) a dit : “ la méditation c’est pas juste un truc pour être pépère , c’est pas non plus la solution magique à tous nos problèmes d’un seul coup.” Alors qu’on lui posait la question suivante : vous avez passé 3 ans en Corée, quelles ont été les bienfaits de la méditation ? il a répondu : “dans mon esprit c’est le bordel, mais il n’y a pas de problème.” Evidemment, toutes ces pensées et ruminations vont surgir, mais il n’y a pas de problème dans le sens qu’on peut commencer à avoir des outils pour mieux gérer ses émotions ne pas en être esclave. Ces qualités humaines, nous en avons tous le potentiel. Il convient ensuite à chacun de décider.

Comment méditer

 Il convient d’établir des conditions favorables au processus de la méditation, il faut un certain nombre de préliminaires.

Lorsque nous sommes débutants dans la méditation, l’idée que l’on va méditer dans les embouteillages ou sur le quai d’une gare, ou dans le milieu de votre travail quand quelqu’un vient de vous dire quelque chose de désagréable, n’est certainement pas le bon démarrage. Le pianiste débutant commencera d’abord à travailler la tenue de ses mains et de son assise avant de poser les doigts sur les touches du clavier. Il ne jouera certainement pas le 2e concerto de Rachmaninov tout de suite ! Rappelons que méditer est un entrainement progressif et quotidien.

Retrouvez-moi sur ma page “méditation pleine conscience à Grenoble”.

Les soins essénien-égyptiens

sylvie tournon Grenoble Chartreuse

Les soins esséno-égyptiens sont, par nature, holistiques. Ils ne cherchent pas à traiter les symptômes pour eux-mêmes mais s’attachent à remonter à la source de ceux-ci, à comprendre le pourquoi du dysfonctionnement d’un système jusque dans les rouages les plus secrets et subtils de l’être. Au-delà des zones et des circuits en souffrance, ils s’attachent à repérer l’impact de possibles mémoires cellulaires, celui des schémas de fonctionnement mentaux ou émotionnels erronés, celui aussi des cicatrices affectives et même des traces d’ordre karmique.

L’hypnose thérapeutique

Tout d’abord, l’hypnose thérapeutique est tout autre chose que ce que l’on peut s’imaginer lorsqu’il nous arrive de voir l’hypnose de spectacle ou l’hypnose de rue,  en présentant de véritables divertissements ou des techniques parfois un peu brutales où l’objectif est de provoquer la stupeur et la fascination. Dans l’hypnose thérapeutique, nous visons à vous donner des techniques qui visent à atteindre vos objectifs.

Comment fonctionne l’hypnose ?

Tout d’abord, l’hypnose est un état naturel tout comme le sommeil ou le rêve. Lorsque vous serez plongés dans un somme hypnotique, vous aurez la nette impression d’être profondément relaxé, calme et détendu. Vous pourrez constater que vous aurez la possibilité de parler de bouger,  tout en étant profondément détendu. Le mot hypnose vient spécifiquement du mot grec « hypnos » qui signifie sommeil.

Pour bien comprendre l’hypnose, il faut considérer que votre esprit est fait de deux parties :

  • L’esprit conscient
  • L’esprit inconscient ou subconscient

Vous êtes en cet instant conscient de ma voix, conscient de l’image que je projette, de mes vêtements, mais en même temps il se passe beaucoup d’autres phénomènes autour de vous et en vous, auxquels vous ne prêtez pas attention :

  • Les battements de votre coeur
  • Votre respiration

Il est évident que si je commence à vous en parler, vous allez y prêter attention. Ces phénomènes jusque – là inconscients, vont passer dans le champ de perception consciente. Votre inconscient est en lien avec tout ce qui concerne la partie biologique :

  1. La respiration
  2. Les sensations physiques du corps
  3. La circulation sanguine

Elle s’occupe aussi de mille et une autre chose. C’est elle qui vous fait rêver la nuit, qui vous réveille, elle qui vous endort, lorsque tout cela est approprié.

L’inconscient est aussi le siège de l’ensemble de vos apprentissages et c’est là que se trouve probablement la clé et la réponse aux objectifs que vous vous êtes fixés. La séance va vous permettre d’établir un contact avec votre meilleur ami, l’inconscient. C’est vous qui ferez le travail et plus précisément l’inconscient. Ce travail se fera sans peine, c’est un travail aisé, qui ne vous demandera pas d’effort. L’inconscient est le siège de vos comportements, c’est aussi le siège de vos souvenir et des habitudes. C’est là que sont rangées toutes vos expériences. L’hypnose va vous permettre de vous reconnecter aux expériences du passé. En vous reconnectant ainsi à ces expériences, vous allez pouvoir ainsi vous en débarrasser définitivement. C’est vous qui ferez le travail et en particulier votre inconscient. Tout cela va se faire sans effort et sans peine.

Peut-on guérir grâce à l’hypnose ?

L’hypnose ne peut évidemment pas tout guérir, elle a en revanche des résultats tout à fait remarquable dans le domaine des manifestations psychosomatiques. Chaque fois que l’esprit a des répercussions sur le corps, l’hypnose trouve ici une position tout à fait privilégiée. Par contre, s’il y a des manifestations de l’ordre d’attaques virales, infectieuses, donc des manifestations biologique, l’hypnose ne peux en revanche pas faire grand-chose en ce domaine.
Prenons un exemple pour la dépendance du tabac dont vous êtes responsable : vous détenez au plus profond de vous-même la clé de votre libération du tabac. L’inconscient sait où vous avez rangé la clé, vous ne vous en souvenez peut-être plus mais lui va savoir où les retrouver, alors faites-lui confiance et faites-vous confiance, dans la détente.

Que se passe-t-il si je ne me réveille pas ?

Les personnes qui projètent de faire une séance d’hypnose ont parfois l’appréhension légitime de ne pas se réveiller. Sachez que au mieux, si vous vous endormez, vous dormirez d’un sommeil bien réparateur et vous vous réveillerez assurément.

Suis-je hypnotisable ?

Aussi surement que vous rêvez la nuit, aussi surement que vous vous endormez, vous êtes hypnotisable. Alors rassurez-vous et profitez pleinement de l’expérience que vous voulez vivre.

Comment savoir si j’ai été hypnotisé ?

Vous ne le saurez pas. Tout ce que vous savez, c’est que votre inconscient vagabonde, il est ailleurs, vous aurez un ensemble de souvenirs et même des souvenirs très précis de la séance. Vous n’aurez pas la présence de tous les souvenirs et cela voudra dire que la séance aura été très bénéfique.

Le TDAH et l’hypnose

Théo TDAH sylvie tournon Grenoble

Il est tout à fait possible de traiter l’hyperactivité / TDAH avec l’hypnose.

Le déficit de l’attention avec hyperactivité est un trouble très fréquent chez les enfants. Il toucherait environ 7% des enfants et 3 fois plus de garçons que de filles. La forme traditionnelle de le traiter sont les médicaments et la psychothérapie. Cependant, chaque personne réagit différemment dans le traitement de la maladie.

Les chercheurs ne s’accordent pas sur les causes réelles de ce trouble. Il y a environ 17 médicaments approuvés pour une utilisation dans le traitement des enfants atteints de TDAH mais la plupart de ces médicaments provoquent des effets secondaires négatifs, y compris la diminution de l’appétit, l’insomnie, l’irritabilité et l’anxiété. Pour une raison inconnue, on constate que plus les enfants atteints de TDHA vieillissent, plus leurs symptômes diminuent.

L’hypnothérapie permet aux enfants atteints d’hyperactivité d’acquérir une bien meilleure concentration et de reprendre le contrôle sur leurs symptômes sans les effets secondaires négatifs des produits pharmaceutiques. Les médicaments ne couvrent que le problème sans traiter réellement la cause. La thérapie est la meilleure façon de prendre le contrôle sur le TDAH. Il faut bien insister, il n’y a pas d’effets secondaires indésirables avec l’hypnose. Les enfants et les adolescents, ainsi que les adultes, sont en mesure d’approcher un état profond de relaxation avec l’hypnose.

Les enfants sont particulièrement réceptifs à l’hypnose. Deux à trois séances suffisent souvent pour cesser un dysfonctionnement comportemental ou émotionnel. Il faut toutefois que l’enfant ait une réelle envie d’aller mieux.

Une réelle motivation de l’enfant est primordiale, car même si ce sont les parents qui font la démarche de venir en consultation, c’est l’enfant à l’issue de l’entretien qui prendra la décision de revenir.

L’hypnothérapeute peut intervenir sur une courte séance d’hypnose lors du premier entretien pour faire découvrir ce qu’est un état modifié de conscience à la fois aux parents qui sont présents et à l’enfant concerné. Cela peut favoriser la confiance qu’a l’enfant pour l’hypnose et pour le thérapeute.

A partir de quel âge un enfant peut commencer des séances d’hypnose ?

Un enfant de 6 – 7 ans peut avoir une compréhension développée pour aborder des sujets comme par exemple le manque de confiance en soi. Mais en utilisant des contes, des histoires adaptées à la problématique, on peut aussi agir sur des enfants plus jeunes : 4 – 5 ans.

Pour que vous puissiez avoir une approche sur une séance d’hypnose pour enfant, voici une vidéo de Lise Bartoli : cliquez ici
Pour plus de précisions concernant le TDAH et l’utilisation de l’hypnose, cliquez ici.

Stop au tabac !

LES BÉNÉFICES DE L’ARRÊT DU TABAC

sylvie tournon tabac article Grenoble

L’arrêt du tabac, s’il suscite bien des difficultés, réserve souvent de bonnes surprises. Quelle que soit la quantité de tabac consommée et aussi longtemps qu’on ait fumé, il n’est jamais trop tard pour arrêter et les bénéfices de l’arrêt du tabac interviennent presque immédiatement :

20 minutes après la dernière cigarette

  • La pression sanguine et les pulsations du cœur redeviennent normales.

8 heures après la dernière cigarette

  • La quantité de monoxyde de carbone dans le sang diminue de moitié.
    L’oxygénation des cellules redevient normale.

24 heures après la dernière cigarette

  • Le risque d’infarctus du myocarde diminue déjà.
    Les poumons commencent à éliminer le mucus et les résidus de fumée. Le corps ne contient plus de nicotine.

48 heures après la dernière cigarette

  • Le goût et l’odorat s’améliorent.
    Les terminaisons nerveuses gustatives commencent à repousser.

72 heures après la dernière cigarette

  • Respirer devient plus facile.
  • Les bronches commencent à se relâcher et on se sent plus énergique.

2 semaines à 3 mois après la dernière cigarette

  • La toux et la fatigue diminuent.
  • On récupère du souffle. On marche plus facilement

1 à 9 mois après la dernière cigarette

  • Les cils bronchiques repoussent.
  • On est de moins en moins essoufflé

1 an après la dernière cigarette

  • Le risque d’infarctus du myocarde diminue de moitié.
  • Le risque d’accident vasculaire cérébral (AVC) rejoint celui d’un non-fumeur.

5 ans après la dernière cigarette

  • Le risque de cancer du poumon diminue presque de moitié.

10 à 15 ans après la dernière cigarette

  • L’espérance de vie redevient identique à celle des personnes n’ayant jamais fumé.Par ailleurs, l’arrêt permet de se libérer de la dépendance du tabac. Si la dépendance physique disparaît en moyenne en quelques semaines, la dépendance psychologique est plus lente à s’estomper. Plusieurs mois sont parfois nécessaires pour ne plus avoir de fortes envies de cigarettes.
    Dans tous les cas, même plusieurs années après l’arrêt du tabac, fumer une cigarette expose à une reprise du tabagisme, car elle réveille le besoin physique et relance la dépendance comporte – mentale. Mais quel bonheur de pouvoir sortir, bouger, sans être obligé de vérifier si l’on a assez de cigarettes ou si le débit de tabac est encore ouvert ! »

Pour plus de précisions concernant l’arrêt du tabac et l’utilisation de l’hypnose, cliquez ici.

Douleurs musculo-squelettiques, comment en finir…

La douleur et les points gâchettes myofasciaux

 

sylvie tournon point gâchette Grenoble

 

Une blessure, quelle que soit sa nature, génère des points gâchettes myofasciaux dans les muscles et leur fascia (l’enveloppe du muscle). On les retrouve plus communément au niveau du cou, de la mâchoire et des muscles fessiers, mais ils peuvent aussi se manifester dans n’importe quel muscle ou fascia à travers le corps. Par définition, des points gâchettes sont des fibres musculaires qui ont été exposées à un traumatisme ou à de multiples microtraumatismes au fil du temps. Ils sont généralement latents dans de vieilles blessures ou actifs dans de nouvelles blessures.

Le diagnostic identifiant des points gâchettes s’appuie sur les manifestations de douleur et comprend l’identification par palpation de petits nodules (nœuds) dans le muscle ou le fascia. Lorsqu’une pression constante est appliquée sur ces nodules, la douleur qui est générée est ressentie ailleurs, en s’éloignant du point gâchette. Identifiés et cartographiés par le Dr Janet Travell, MD dans le cadre de ses recherches cliniques exhaustives en la matière, la thérapie par points gâchettes (« trigger point therapy ») qu’elle a développée est reconnue mondialement dans le traitement de divers types de douleurs. Au début des années 1960, le Dr Travell était le médecin personnel du président John F. Kennedy à la Maison-Blanche et elle le soignait pour ses maux de dos sévères et chroniques.

Les points gâchettes myofasciaux entrainent fréquemment des troubles neurologiques, notamment des céphalées, des vertiges, des symptômes sensoriels et même des symptômes gastro-intestinaux. La tranche d’âge la plus touchée par des douleurs associées aux points gâchettes est celle de 30 à 50 ans, et ce, plus fréquemment chez les femmes.

Causes des points gâchettes

  • Blessure récente ou ancienne
  • Manque d’exercice
  • Mauvaise position pendant de longues périodes
  • Carences en vitamines
  • Troubles du sommeil

Activités professionnelles comme la profession des musiciens, danseurs qui souffrent de douleurs musculo-squelettiques dues à des gestes ou des mouvements répétés, entraînant des raideur ou même l’incapacité du mouvement.

Comment peuvent être gérés les points gâchettes(trigger points)

  • Par ponçage à l’aide d’un bâton de massage
  • Par magnétisme pour affiner et extraire les résidus, les toxines restantes dans la fibre musculaire

Pour plus de précisions concernant le traitement sur les douleurs et les points gâchette myofaciaux, cliquez ici.